Le chef de l’État a annoncé un nouveau confinement de toute la population, sauf pour aller travailler et décide de prolonger, après consultation du parlement, l’état d’urgence jusqu’au 16 février prochain.
Comme l’exprime le communiqué confédéral du 15 octobre dernier « la limitation des libertés individuelles et collectives conduit de fait à entraver sérieusement l’action syndicale, pourtant essentielle tant pour la santé des travailleurs que l’emploi et le pouvoir d’achat ». Cette position a été rappelée dans un nouveau communiqué suite à l’intervention du chef de l’État dans lequel la CGT-FORCE OUVRIÈRE « s’inquiète que le recours à l’état d’urgence devienne récurrent ».